Alain OUVRARD, né le 17 mai du signe du taureau combatif à 200 %, reprenant le flambeau de son grand père a toucher un peu à tous les métiers et à toutes les terres avant de venir s'installer à Montpellier.

Mais, depuis une décennie, Paris est devenue sa plaque tournante.

Si, à la morte-saison, il rejoint les scènes de Paname "car les cafés-théâtres sont plus nombreux et fréquentés que dans le coin".

Il reprend le rythme de sa ville adoptive dès que le printemps pointe le bout de ses bourgeons.

Mais comme OUVRARD est d'ici, il est plus disponible que ses homologues "étrangers-du-dedans" et dispose ainsi de temps libre pour travailler en famille, au soleil, avec ses amis dont son public languedocien.

Un exercice de style réalisé intensivement en famille, avec les enfants, les tantes, les oncles et l'aieul pour chef d'orchestre.

Alain était la coquechule du groupe et, à l'âge de raison, il mimait déjà, pour le plaisir des siens, les "tics" de Gaston.

En grandissant, faire le pitre est resté une activité primordiale pour lui.

Pour pouvoir s'exprimer, ou qu'il soit allé, il a toujours mis un pied sur les scènes locales.

Attentionné avec son public toujours prêt à le prendre à partie, possédant un sac à malice de répartie bien senties, "scato" juste ce qu'il faut, Alain OUVRARD conte et chante.

D'ailleurs en mémoire de Gaston, il a repris son répertoire, avec la célèbre chanson "Je ne suis pas bien portant".

Alain OUVRARD entraîne qui veut dans ses doux délires.